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Appel à candidatures : résidence d’écriture à Edenkoben (Allemagne) / Août 2024

Une résidence d'un mois (août 2024) au Centre artistique d’Edenkoben en Rhénanie-Palatinat (Allemagne).   Lire la suite

Appel à candidatures: résidence d’auteurs RÉCIT’CHAZELLES

La résidence d’auteurs RÉCIT’CHAZELLES lance son APPEL À CANDIDATURES. La date limite d'inscription est fixée au 30 MARS 2024. Lire la suite

Appel à candidatures: résidences à la Villa Kujoyama en 2025

En 2025, la Villa Kujoyama accueillera environ quinze lauréats et lauréates pour des résidences de 4 à 6 mois. Les lauréats et lauréates sont appelés à nouer des relations de travail avec les milieux professionnels, universitaires, artistiques et culturels de Kyoto, de la région du Kansai et de l’ensemble de l’archipel. Les candidatures peuvent être déposées par un candidat solo, en binôme, ou en duo franco-japonais. Cette année, le processus de sélection est également ouvert aux duos et binômes Arts et Sciences.   Lire la suite

Lancement du site Lecture-Justice

La Fédération interrégionale du livre et de la lecture (Fill), en partenariat avec le ministère de la Culture et le ministère de la Justice, lance le site Internet Lecture-Justice afin d’accompagner le déploiement de projets livre et lecture auprès des personnes placées sous main de justice.   Lire la suite

 Prix André Dubreuil du premier roman Le Meilleur des jours (Sabine Wespieser éditeur

Yassaman Montazami est née à Téhéran et vit en France depuis 1974. Docteur en psychologie, elle a travaillé de nombreuses années auprès de réfugiés politiques et a enseigné à l’université Paris VII. Elle exerce actuellement en milieu hospitalier. Le Meilleur des jours est son premier roman.

Le meilleur des jours, c’est ce que signifie le nom persan, Beyrouz, que donna une mère adorante à son fils, miraculé à la naissance. A travers ses souvenirs, tragiques ou cocasses, au fil des allers et retours entre Téhéran et Paris, Yassaman Montazami fait revivre un père qu’elle adula, un homme délicieux, fantasque, très cultivé, pas toujours responsable mais généreux.

Dans ce roman qui tient autant de la chronique que du tombeau littéraire, l’auteur parvient à saisir la complexité des êtres et des mondes. Et Dieu sait que ces mondes divers et brassés des Iraniens hors d’Iran sont complexes, font voler en éclats les codes, les hiérarchies, les frontières. Yassaman Montazami a le pinceau léger mais ferme, fait apparaître point par point une galerie de portraits inoubliables et surtout son père disparu, sa belle énergie butée. C'est tendre, drôle. Un fragment coloré et vivant dans la mosaïque des livres d'exil, en plus d'être un émouvant geste d'amour.

Pierrette Fleutiaux (novembre 2012)

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