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Appel à candidatures : résidence d’écriture à Edenkoben (Allemagne) / Août 2024

Une résidence d'un mois (août 2024) au Centre artistique d’Edenkoben en Rhénanie-Palatinat (Allemagne).   Lire la suite

Appel à candidatures: résidence d’auteurs RÉCIT’CHAZELLES

La résidence d’auteurs RÉCIT’CHAZELLES lance son APPEL À CANDIDATURES. La date limite d'inscription est fixée au 30 MARS 2024. Lire la suite

Appel à candidatures: résidences à la Villa Kujoyama en 2025

En 2025, la Villa Kujoyama accueillera environ quinze lauréats et lauréates pour des résidences de 4 à 6 mois. Les lauréats et lauréates sont appelés à nouer des relations de travail avec les milieux professionnels, universitaires, artistiques et culturels de Kyoto, de la région du Kansai et de l’ensemble de l’archipel. Les candidatures peuvent être déposées par un candidat solo, en binôme, ou en duo franco-japonais. Cette année, le processus de sélection est également ouvert aux duos et binômes Arts et Sciences.   Lire la suite

Lancement du site Lecture-Justice

La Fédération interrégionale du livre et de la lecture (Fill), en partenariat avec le ministère de la Culture et le ministère de la Justice, lance le site Internet Lecture-Justice afin d’accompagner le déploiement de projets livre et lecture auprès des personnes placées sous main de justice.   Lire la suite
Solstice
© Nico Bustos
Logo RougeWeb Théâtre Le Liberté -Toulon
Adresse : Grand Hôtel, Place de la Liberté
83000 Toulon
Téléphone : 04 98 00 56 76
Site web : http://www.theatre-liberte.fr/

Solstice

Chorégraphie et direction artistique Blanca Li

Scénographie et dramaturgie Pierre Attrait

Avec Yacnoy Abreu Alfonso dit Chaky, Peter Agardi, Rémi Bénard, Iris Florentiny, Joseph Gebraël, Julien Gaillac, Yann Hervé, Aurore Indaburu, Alexandra Jézouin, Pauline Journé, Margarita Riera Roig dit Margalida, Gaël Rougegrez, Bachir Sanogo, Yui Sugano et Victor Virnot

Mercredi 3 octobre 2018 à 20h

Salle Albert Camus
Durée : 1h30

Puisque l’avenir de la planète se joue aujourd’hui, Blanca Li la survoltée nous alerte sur les dérives climatiques en réunissant quatorze danseurs aux prises avec les forces de la nature.

Après le succès mondial de sa création dans l’univers des robots, Blanca Li signe un spectacle d’envergure qui explore la relation complexe qu’entretiennent les Hommes avec la nature. Une démarche qui n’a rien de paradoxal, c’est au contraire une « suite logique » pour la chorégraphe-actrice-cinéaste-showgirl qui s’intéresse à l’avenir de la planète. Sur un sol immaculé, quatorze danseurs d’exception évoluent sous un dispositif original : un immense tulle blanc sur lequel sont projetées des images organiques évoquant le feu, l’eau, l’air et la terre. Ce nuage aérien, baldaquin céleste qui les surplombe et les caresse, s’anime par la magie des projections et nous rappelle à quel point l’humanité est bien orgueilleuse de vouloir dompter ce qui la dépasse. Entre la délicatesse d’une feuille qui tombe et la force du vent qui emporte les corps, Solstice exalte la fragilité de la Terre, ses mystères et sa beauté. Le tout au rythme d’une musique percussive composée à partir de sons naturels. Un spectacle lumineux, énergique et engagé qui réveille les consciences et s’adresse à tous.
Un « geste d’alarme » posé avec élégance et conviction.

Tarif préférentiel à l’attention des adhérents de la SGDL : 21€ (au lieu du tarif plein 29€) dans la limite des places disponibles en précisant le code SGDL
Tarif réduit pour les moins de 26 ans : 16€

Réservation Au Théâtre et par téléphone
Du mardi au samedi de 11h à 19h
Téléphone : 04 98 00 56 76
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anous2
© Pierre Grosbois

À nous deux maintenant

D’après le roman Un crime de Georges Bernanos
Conception, adaptation et mise en scène Jonathan Capdevielle

Avec Clémentine Baert, Jonathan Capdevielle, Dimitri Doré, Jonathan Drillet, Arthur B. Gillette (en alternance avec Jennifer Hutt) et Michèle Gurtner

Samedi 6 octobre 2018 à 20h30

Salle Albert camus
Durée : 3h


Familier des traditions villageoises et fasciné par la figure du prêtre, Jonathan Capdevielle met en scène l’ambivalence et le travestissement sous-entendus dans Un crime de Georges Bernanos.

Frappé par l’humour noir et l’étrangeté fantastique du roman policier Un crime (1935), Jonathan Capdevielle a choisi de l’adapter librement en y insufflant quelques éléments personnels de son Sud-Ouest natal. Car si les questions de la différence, de l’identité, de l’enfance et de la construction de soi ont toujours traversé ses créations, il semble bien naturel que l’acteur et metteur en scène ait trouvé en Georges Bernanos un souffle inspirant.
Nous voilà donc au cœur des Alpes, avec un double crime qu’un juge d’instruction – qui est aussi la figure de l’auteur – doit élucider. Tous les indices convergent vers l’énigmatique curé de Mégère. Si le roman de Bernanos démarre avec une intrigue policière au réalisme classique, il s’en éloigne peu à peu au profit d’une fresque villageoise où les fantasmes des uns se mêlent à l’effroi des autres et laisse place au surnaturel. Personnalités ambivalentes, cauchemars, troubles et mensonges, tout concourt à la perte de repères et à la confusion des sentiments. Et prouve, s’il fallait encore le prouver, que l’habit ne fait – vraiment – pas le moine.

Tarif préférentiel à l’attention des adhérents de la SGDL : 21€ (au lieu du tarif plein 29€) dans la limite des places disponibles en précisant le code SGDL
Tarif réduit pour les moins de 26 ans : 16€

Réservation Au Théâtre et par téléphone
Du mardi au samedi de 11h à 19h
Téléphone : 04 98 00 56 76
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inclassable
© Amandine Nandrin

En chemin

Conception et mise en scène Gustavo Giacosa

Avec Kostia Botkine, Antoine Boulangé, Fausto Ferraiuolo, Gustavo Giacosa, Akira Inumaru, Philippe Marien et Francesca Zaccaria

Du jeudi 11 au samedi 13 octobre 2018 à  20h

Salle Fanny Ardant
Durée : 1h05

 

Comédien, metteur en scène et commissaire d’exposition, Gustavo Giacosa clôt son triptyque consacré à l’espace avec En chemin. Ou comment sept interprètes singuliers nous invitent à un voyage inattendu, intérieur et musical.

Au carrefour du théâtre, de la danse et des arts plastiques, Gustavo Giacosa signe des spectacles dont l’univers onirique ne saurait se réduire à une seule discipline. Résolument polymorphe, cet argentin d’origine, aixois d’adoption, compagnon de route de Pippo Delbono pendant près de vingt ans, n’aime rien tant que les pas de côté, la marge. Après avoir exploré Le pont et La maison, En chemin est le troisième volet d’un triptyque consacré à la symbolique de l’espace.
La scène est une boite crânienne, un théâtre mental perturbé par les images qui hantent le protagoniste. Inspiré par des figures mythologiques telles qu’Ulysse et Pinocchio autant que par la littérature qui vagabonde d’Homère à Jack Kerouac, En chemin s’est conçu collectivement, nourri par les fortes personnalités des interprètes dont certains sont déficients mentaux. Un voyage rythmé par la musique originale et jouée en direct. Autant d’atouts qui invitent à faire fissa ses valises. Car si d’un chemin on sait toujours d’où l’on part, on ignore souvent où l’on arrive.

Tarif préférentiel à l’attention des adhérents de la SGDL : 17€ (au lieu du tarif plein 24€) dans la limite des places disponibles en précisant le code SGDL
Tarif réduit pour les moins de 26 ans : 16€

Réservation Au Théâtre et par téléphone
Du mardi au samedi de 11h à 19h
Téléphone : 04 98 00 56 76
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arthurH
© Léonore Mercier

Arthur H

Vendredi 12 octobre 2018 à 20h30

Salle Albert Camus

Arthur H est parti faire un tour du monde. Il est revenu les poches pleines pour un double album foisonnant et somptueux, Amour chien fou.

Une voix, un chapeau, une initiale. Il n’en faut pas plus pour immédiatement caresser nos oreilles tant le chanteur est reconnaissable entre tous et c’est avec émerveillement que l’on a découvert son dixième album, double qui plus est.
Arthur H a écrit et composé Amour chien fou pendant les escales d’un tour du monde qui l’a mené du Mexique à Tokyo avec sa compagne, auteure de deux titres. À l’arrivée, on note un fort excédent de bagages tant l’artiste multiplie les poèmes d’amour. Aux femmes en général, à sa mère et sa compagne en particulier, mais aussi à ses amis, sa famille et ses fantômes. Sa patte n’a pas changé, elle qui gigote sur des notes de jazz, de blues, d’énergie rock ou électro. Le tout avec une poésie du verbe qui prend l’auditeur par le bout de l’oreille comme le ferait un conteur pour nous amener au fond de la fable. Car Arthur H ne chante pas. Il raconte en chantant, nuance.
Sur scène, Amour chien fou s’équilibre en trio avec la batterie de Raphaël Seguinier et la guitare envoûtante de Nicolas Repac (coréalisateur de l’album). Ou comment célébrer l’Amour avec un grand A, quand on s’appelle Arthur avec un grand H.

Tarif préférentiel à l’attention des adhérents de la SGDL : 28€ (au lieu du tarif plein 35€) dans la limite des places disponibles en précisant le code SGDL
Tarif réduit pour les moins de 26 ans : 20€

Réservation Au Théâtre et par téléphone
Du mardi au samedi de 11h à 19h
Téléphone : 04 98 00 56 76
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francecontrerobot
© Éric Giriat

La France contre les robots et autres textes

Texte Georges Bernanos
Adaptation Jean-Baptiste Sastre et Gilles Bernanos
Conception Jean-Baptiste Sastre et Hiam Abbass

Avec Jean-Baptiste Sastre et la voix de Gilles Bernanos

Du mercredi 17 au samedi 20 octobre 2018 à  20h

Salle Fanny Ardant
Durée : 1h25

Plus connu pour ses romans (Sous le soleil de Satan, Journal d’un curé de campagne...), Georges Bernanos se double d’un fin observateur de son temps qu’il fustige dans bon nombre d’essais et de textes. La France contre les robots, écrit au Brésil en 1944, est l’un des recueils de ces fameux « écrits de combat ». Avec une perception incroyablement visionnaire du XXIe siècle, l’auteur y critique les perversités du capitalisme industriel (il prévoit même les délocalisations d’usine à venir), l’inconséquence de l’Homme face au progrès technique et, d’une manière plus générale, dénonce tout ce qui conspire à l’anéantissement de la vie intérieure sans laquelle nos libertés ne sauraient être véritables.
Seul en scène, le comédien Jean-Baptiste Sastre offre sa voix à cette tribune. Une voix posée, calme et sereine malgré le bouillonnement intérieur.
« Jeunes gens et jeunes filles... » appelle-t-il. Bernanos harangue la jeunesse grâce à qui le salut peut encore advenir. Un portrait sans concession du monde moderne livré dans un spectacle intime et faussement résigné.

Tarif préférentiel à l’attention des adhérents de la SGDL : 17€ (au lieu du tarif plein 24€) dans la limite des places disponibles en précisant le code SGDL
Tarif réduit pour les moins de 26 ans : 16€

Réservation Au Théâtre et par téléphone
Du mardi au samedi de 11h à 19h
Téléphone : 04 98 00 56 76
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chat souris
© Anne Sendik

Le chat n'a que faire des souris mortes

Texte Philippe Dorin
Mise en scène Sylviane Fortuny

Avec Déborah Marique, Noé Mercier, Juliette Prier et Johann Weber

Jeudi 18 octobre 2018 à  19h30

Salle Albert Camus
Durée : 1h

Souvent le Diable surgit quand on ne s’y attend pas, encore faut-il savoir le reconnaître. Une variation sur la figure diabolique à l’âge de l’adolescence, ce moment fragile où l’on doute sur le sens de son existence...

Deux adolescents sont assis sur un banc au bord d’un lac. L’un se dit le meilleur ami de l’autre, sans que ce dernier ne le sache encore. Arrive une jeune fille qui leur lance « Diable, que faites-vous là ? ». Chacun le prend pour soi. Car c’est bien connu, le Diable adore qu’on le vouvoie...
Inspiré par la question du bien et du mal en général, par le rôle du méchant en particulier, Philippe Dorin fait surgir le Diable à l’adolescence, cet âge charnière où tout peut basculer. Ils sont donc quatre. Le premier est un adolescent gentil, à la solitude mélancolique. Une proie idéale pour le second, son soi-disant « meilleur ami », néfaste et malfaisant. Puis il y a une jeune fille qui s’impatiente et ne sait que faire des pouvoirs magiques qu’elle détient. Et enfin, une autre adolescente qui dissimule sa personnalité sous les traits de tous les autres protagonistes. Avec Faust de Goethe et Le Maître et Marguerite de Boulgakov en tête, l’auteur décline la figure diabolique dans toutes ses variations. Le Diable est-il un tentateur, un manipulateur, un agitateur ? À moins qu’une autre voie ne soit envisageable. Celle d’un être tenté par l’homme, seul détenteur de cette petite flamme d’humanité qui échappe aux feux de l’enfer et que l’on nomme « amour » ?

Tarif préférentiel à l’attention des adhérents de la SGDL :
21€ (au lieu du tarif plein 29€) dans la limite des places disponibles en précisant le code SGDL
Tarif réduit pour les moins de 26 ans : 15€

Réservation Au Théâtre et par téléphone
Du mardi au samedi de 11h à 19h
Téléphone : 04 98 00 56 76
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la ballata
© Vincent Bérenger

La Ballata di Johnny e Gill

Texte et mise en scène Fausto Paravidino
Conception Iris Fusetti et Fausto Paravidino

Avec Federico Brugnone, Iris Fusetti, Fatou Malsert, Daniele Natali, Tibor Ockenfels, Fausto Paravidino et Aleph Viola


Du jeudi 8 au samedi 10 novembre à 20h30

Salle  Albert Camus
Durée : 1h30

Auteur d’une douzaine de pièces jouées à Berlin, Londres, Oslo, Amsterdam ou encore Barcelone, Fausto Paravidino est au centre de la nouvelle génération de dramaturges européens. Avec ses complices, il rêve dans ce spectacle, inspiré par la Genèse, à un langage théâtral universel qui abolirait la barrière des langues.

Que feriez-vous si un jour Dieu vous promettait une descendance, la prospérité et la fortune ? Tel Abraham, Johnny est un homme très pauvre, qui vit avec sa femme Gill. Un jour apparaît un Dieu qui ne parle qu’à lui, peut-être est-ce un rêve ? Il lui propose un pacte : une promesse de descendance, la postérité et la fortune s’il émigre. Il prend sa femme sous le bras et, après diverses pérégrinations à travers l’Afrique et la Méditerranée, il arrive clandestinement à New York. C’est là qu’il tentera sa chance... Fasciné par la Bible, Fausto Paravidino poursuit son exploration du livre sacré en se focalisant sur le mythe de la tour de Babel et la figure du premier patriarche, Abraham. Conçu à partir d’ateliers menés dans différentes villes (New York, Genève, Toulon), La ballata di Johnny e Gill cherche à dépasser les barrières de la langue en invitant en scène toute forme de communication non verbale. La danse, les masques, la pantomime et les images s’enchevêtrent au verbe pour dire et raconter. Le metteur en scène s’empare du mythe et, s’amusant de toutes les analogies possibles, le fait dialoguer avec nous, aujourd’hui.

Tarif préférentiel à l’attention des adhérents de la SGDL : 21 (au lieu du tarif plein 29€) dans la limite des places disponibles en précisant le code SGDL
Tarif réduit pour les moins de 26 ans : 16€

Réservation Au Théâtre et par téléphone
Du mardi au samedi de 11h à 19h
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chang
© D.R.

Chang

Film de Merian C. Cooper et Ernest B. Schoedsack, 1927

Avec le groupe Baron Samedi

Mardi 13 novembre à 19h30

Salle Albert Camus
Durée : 1h10

Le groupe Baron Samedi met en musique Chang, film muet de 1927 entièrement tourné dans l’ancien royaume de Siam.

1927, dans la jungle thaïlandaise. Kru et sa famille vivent dans une maison sur pilotis. Entre tâches agricoles, chasse et détente avec un singe compagnon de jeux et de bananes, la vie dans cet environnement hostile est une lutte quotidienne. Un jour, ils capturent un éléphanteau, Chang. Mais sa mère, bientôt suivie du troupeau, vient le chercher. Comment alors, faire face à une telle force de destruction ?
Au rayon aventures ethnographiques, Chang est assurément un film culte que l’on a longtemps cru disparu. Une copie ayant été miraculeusement retrouvée en 1988, on peut à présent découvrir cette pépite réalisée par le duo qui signa par la suite un chef d’œuvre du cinéma fantastique, King Kong (1933). Exotisme, aventures et histoires fantastiques, tout est déjà là dans Chang, tourné pendant trois ans en décors naturels et sans effets spéciaux, la proximité avec les animaux sauvages s’avérant très dangereuse pour l’équipe et les
« acteurs ». Une merveille muette à découvrir avec la musique du groupe Baron Samedi dont les percussions, voix et bruitages exécutés à vue abolissent les distances géographiques et temporelles pour nous plonger aujourd’hui dans ce paradis perdu d’hier.

Tarif préférentiel à l’attention des adhérents de la SGDL : 21€ (au lieu du tarif plein 29€) dans la limite des places disponibles en précisant le code SGDL
Tarif réduit pour les moins de 26 ans : 16€

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la douleur
 © D.R.

La douleur

Film d’Emmanuel Finkiel, 2018

Avec Mélanie Thierry, Benoît Magimel, Benjamin Biolay, Shulamit Adar, Grégoire Leprince-Ringuet et Emmanuel Bourdieu

Mercredi 14 novembre 2018 à 20h30

Salle Albert Camus
Durée : 2h05

Le festival Portraits de femmes fête son 17e anniversaire. Il a pour vocation de défendre le cinéma de femmes qu’elles soient actrices, réalisatrices, scénaristes, auteures ou photographes, mais aussi d’incarner des moments de rencontre, de brassage culturel entre les artistes et le public.

Avec La douleur, adaptée du récit autobiographique de Marguerite Duras, c’est par un vibrant hommage aux femmes résistantes que débute le festival porté par Loutcha Dassa et son équipe de bénévoles.
Juin 1944, la France est toujours sous l’Occupation allemande. L’écrivain Robert Antelme, figure majeure de la Résistance, est arrêté et déporté. Sa jeune épouse Marguerite, écrivaine et résistante, est tiraillée entre l’angoisse de ne pas avoir de ses nouvelles et sa liaison secrète avec son camarade Dyonis Mascolo.
Puissant et singulier, La douleur est un immense film de cinéma et de littérature, un moment suspendu, à la fois glaçant et brûlant.

Tarif préférentiel à l’attention des adhérents de la SGDL : 21€ (au lieu du tarif plein 29€) dans la limite des places disponibles en précisant le code SGDL

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Du mardi au samedi de 11h à 19h
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trilogie des regards
David Ayala © Vincent Bérenger

Trilogie des regards, de l'amour et des adieux
Addiction

Imaginé par David Ayala et Bertrand Louis
Mise en scène David Ayala
D’après les textes et poèmes de Charles Baudelaire et des textes écrits par les acteurs

Avec Sophie Affholder, David Ayala, Jérôme Castel, Zita Cochet et Bertrand Louis

Vendredi 16 novembre 2018 à 20h30

Salle Albert Camus

Théâtre et musique s’entrelacent autour des mots de Baudelaire, Philippe Muray et Mahmoud Darwich.
Une trilogie poétique orchestrée par Bertrand Louis et David Ayala pour s’enivrer de paroles (en)chantées.

À première vue, rien ne relie les vers fiévreux de Baudelaire, les pamphlets rageurs de Philippe Muray et la prose apaisée de Mahmoud Darwich. Pourtant, à y regarder de plus près, un fil unit les trois auteurs qui apparaissent comme autant de facettes distinctes de l’âme humaine. C’est ce fil que tirent le chanteur et musicien Bertrand Louis et le comédien et metteur en scène David Ayala pour un triptyque de théâtre musical qui entend faire dialoguer Baudelaire le solitaire, Muray le misanthrope et Darwich l’homme de la réconciliation.
Dans le premier spectacle ADDICTION (Baudelaire Scénario), le récit se noue autour d’un scénariste et son associée qui tentent d’écrire un scénario de film autour de la vie de Charles Baudelaire. Leur histoire inclurait notamment les parcours chaotiques de deux adolescents « en rupture sociale » dont les vies seraient bouleversées par leur rencontre avec la poésie. Le second spectacle (Muray) prend, lui, des allures de concert pop-rock (guitare, claviers, batterie) pour mieux galvaniser l’énergie rageuse de l’auteur contre notre époque gangrénée par le culte du divertissement et de l’« hyper-festif ». Enfin, dans le dernier spectacle d’après Mahmoud Darwich, deux acteurs, deux musiciens et des invités surprise s’unissent pour un récital poignant de poèmes dont certaines parties sont lues ou racontées en arabe classique par le comédien Fida Mohissen – des paroles de lumières, d’amour et de paix qui font écho à la terrible réalité d’un Moyen-Orient tragiquement déchiré.

Tarif préférentiel à l’attention des adhérents de la SGDL : 21€ (au lieu du tarif plein 29€) dans la limite des places disponibles en précisant le code SGDL

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trilogie amour
Bertrand Louis © DR

Trilogie des regards, de l'amour et des adieux
Sans moi

Imaginé par David Ayala et Bertrand Louis
Mise en scène David Ayala
D’après Minimum Respect et d’autres textes de Philippe Muray

Avec Sophie Affholder, David Ayala, Jérôme Castel et Bertrand Louis

Samedi 17 novembre 2018 à 20h30

Salle Albert Camus

Théâtre et musique s’entrelacent autour des mots de Baudelaire, Philippe Muray et Mahmoud Darwich.
Une trilogie poétique orchestrée par Bertrand Louis et David Ayala pour s’enivrer de paroles (en)chantées.

À première vue, rien ne relie les vers fiévreux de Baudelaire, les pamphlets rageurs de Philippe Muray et la prose apaisée de Mahmoud Darwich. Pourtant, à y regarder de plus près, un fil unit les trois auteurs qui apparaissent comme autant de facettes distinctes de l’âme humaine. C’est ce fil que tirent le chanteur et musicien Bertrand Louis et le comédien et metteur en scène David Ayala pour un triptyque de théâtre musical qui entend faire dialoguer Baudelaire le solitaire, Muray le misanthrope et Darwich l’homme de la réconciliation.
Dans le premier spectacle ADDICTION (Baudelaire Scénario), le récit se noue autour d’un scénariste et son associée qui tentent d’écrire un scénario de film autour de la vie de Charles Baudelaire. Leur histoire inclurait notamment les parcours chaotiques de deux adolescents « en rupture sociale » dont les vies seraient bouleversées par leur rencontre avec la poésie. Le second spectacle (Muray) prend, lui, des allures de concert pop-rock (guitare, claviers, batterie) pour mieux galvaniser l’énergie rageuse de l’auteur contre notre époque gangrénée par le culte du divertissement et de l’« hyper-festif ». Enfin, dans le dernier spectacle d’après Mahmoud Darwich, deux acteurs, deux musiciens et des invités surprise s’unissent pour un récital poignant de poèmes dont certaines parties sont lues ou racontées en arabe classique par le comédien Fida Mohissen – des paroles de lumières, d’amour et de paix qui font écho à la terrible réalité d’un Moyen-Orient tragiquement déchiré.

Tarif préférentiel à l’attention des adhérents de la SGDL : 21€ (au lieu du tarif plein 29€) dans la limite des places disponibles en précisant le code SGDL

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trilogie adieux
Simon Abkarian © Vincent Bérenger

Trilogie des regards, de l'amour et des adieux
Un autre jour viendra

Imaginé par David Ayala et Bertrand Louis
Mise en scène David Ayala
D’après des textes et des poèmes de Mahmoud Darwich

Avec Sophie Affholder, David Ayala, Jérôme Castel, Bertrand Louis, Astrid Fournier Laroque (chant lyrique) et Fida Mohissen
Et les artistes invités (en alternance) Simon Abkarian, Ariane Ascaride, Sami Bouajila, Cécile Garcia-Fogel et Reda Kateb

Dimanche 18 novembre 2018 à 18h
Salle Albert Camus

Théâtre et musique s’entrelacent autour des mots de Baudelaire, Philippe Muray et Mahmoud Darwich. Une trilogie poétique orchestrée par Bertrand Louis et David Ayala pour s’enivrer de paroles (en)chantées.

À première vue, rien ne relie les vers fiévreux de Baudelaire, les pamphlets rageurs de Philippe Muray et la prose apaisée de Mahmoud Darwich. Pourtant, à y regarder de plus près, un fil unit les trois auteurs qui apparaissent comme autant de facettes distinctes de l’âme humaine. C’est ce fil que tirent le chanteur et musicien Bertrand Louis et le comédien et metteur en scène David Ayala pour un triptyque de théâtre musical qui entend faire dialoguer Baudelaire le solitaire, Muray le misanthrope et Darwich l’homme de la réconciliation.
Dans le premier spectacle ADDICTION (Baudelaire Scénario), le récit se noue autour d’un scénariste et son associée qui tentent d’écrire un scénario de film autour de la vie de Charles Baudelaire. Leur histoire inclurait notamment les parcours chaotiques de deux adolescents « en rupture sociale » dont les vies seraient bouleversées par leur rencontre avec la poésie. Le second spectacle (Muray) prend, lui, des allures de concert pop-rock (guitare, claviers, batterie) pour mieux galvaniser l’énergie rageuse de l’auteur contre notre époque gangrénée par le culte du divertissement et de l’« hyper-festif ». Enfin, dans le dernier spectacle d’après Mahmoud Darwich, deux acteurs, deux musiciens et des invités surprise s’unissent pour un récital poignant de poèmes dont certaines parties sont lues ou racontées en arabe classique par le comédien Fida Mohissen – des paroles de lumières, d’amour et de paix qui font écho à la terrible réalité d’un Moyen-Orient tragiquement déchiré.

Tarif préférentiel à l’attention des adhérents de la SGDL : 21€ (au lieu du tarif plein 29€) dans la limite des places disponibles en précisant le code SGDL

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inclassable
© Masiar Pasquali

Inclassable
Bestie di scena

Conception et mise en scène Emma Dante

Avec Elena Borgogni, Sandro Maria Campagna, Viola Carinci, Italia Carroccio, Davide Celona, Sabino Civilleri, Roberto Galbo, Carmine Maringola, Ivano Picciallo, Leonarda Saffi, Daniele Savarino, Stéphanie Taillandier, Emilia Verginelli, Marta Zollet, Daniela Macaluso et Gabriele Gugliara

Jeudi 22 et vendredi 23 novembre 2018 à 20h30

Salle Albert Camus
Durée : 1h

Tels les enfants d’Adam et Ève chassés du Paradis, quatorze interprètes, dénués de tout, explorent la fragilité de l’être humain. Un spectacle singulier qui ne peut laisser indifférent.

Avant toute chose, oubliez tout ce que vous connaissez du théâtre ! Avec ces bêtes de scène, pas d’histoire, pas de texte, pas de décor, ni même de costumes... C’est avec une page blanche mentale qu’il convient d’entrer dans la salle. Une page vierge sur laquelle la metteure en scène sicilienne Emma Dante invite chaque spectateur à y voir ce qu’il entend. Mais alors, de quoi s’agit-il ? Sur scène, quatorze comédiens-danseurs nus comme des vers sont là, face à nous, enfermés dans un lieu clos. Est-ce des bêtes dans un enclos ? Des humains égarés dans le jardin d’Eden ? Allez savoir... Ce qui est sûr, c’est que cette petite communauté d’êtres fragiles est confrontée à ses limites, à ses peurs et à ses joies avec une main invisible qui leur lance une bassine, un ballon, une poupée ou un balai. Soumis à différentes épreuves, ils sont à la fois victimes et cobayes de petites expérimentations à travers lesquelles les individualités se construisent peu à peu. Loin de toute provocation ou sexualisation des corps, Emma Dante révèle l’innocence des êtres. Une proposition radicale qui ravira les plus curieux.

Tarif préférentiel à l’attention des adhérents de la SGDL : 21€ (au lieu du tarif plein 29€) dans la limite des places disponibles en précisant le code SGDL

Réservation Au Théâtre et par téléphone
Du mardi au samedi de 11h à 19h
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adishatz
© Alain Monot

Adishatz / Adieu

Conception et interprétation Jonathan Capdevielle 

Avec la participation d’Écume, ensemble choral universitaire de Montpellier
Direction musicale Sylvie Golgevit
Avec (en alternance) Pierre-Yves Bruzzone, Paco Lefort, Jean-Luc Martineau, Olivier Strauss, Carlos Vasquez et Benoit Vuillon

Jeudi 29 et vendredi 30 novembre 2018 à 20h

Salle Fanny Ardant
Durée : 1h

Entre culture pop et chants traditionnels, souvenirs d’enfance et obsession pour Madonna, Jonathan Capdevielle se livre dans un (presque) solo qui tangue entre humour et gravité.

« Papa don’t preach, I’m in trouble deep... » Une silhouette adolescente s’avance vers nous, capuche sur la tête et micro à la main. Mais qui est cet être ambivalent ? Celui qui chante Madonna a capella, qui téléphone à son père resté dans les montagnes, troque son accent de Tarbes pour une voix de haute-contre et qui, le soir venu, se métamorphose en reine de boîte de nuit ?
Adishatz, « adieu » en patois pyrénéen, pourrait être l’itinéraire d’un personnage entre vie réelle et vie fantasmée. Comme il pourrait tout aussi bien être l’autoportrait fictionnel et chanté de Jonathan Capdevielle, interprète troublant qui révèle à chaque spectacle de nouveaux talents : acteur, danseur, chanteur, marionnettiste et ventriloque sont répertoriés à ce jour. À travers la force des chansons populaires qui provoquent en lui de profonds questionnements, il évoque son enfance, sa famille, ses racines et l’absence... Seul en scène, il donne corps et voix à ceux qui peuplent son imaginaire, des videurs de boîtes de nuit aux fameuses troisièmes mi-temps de rugby. Et dresse le portrait émouvant d’un être en devenir dont l’identité précise ne se révèle qu’à travers le regard de chaque spectateur.

Tarif préférentiel à l’attention des adhérents de la SGDL : 17€ (au lieu du tarif plein 24€) dans la limite des places disponibles en précisant le code SGDL

Réservation Au Théâtre et par téléphone
Du mardi au samedi de 11h à 19h
Téléphone : 04 98 00 56 76
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fourberies
© Christophe Raynaud de Lage
collection Comédie-Française

Les fourberies de Scapin

Texte Molière
Mise en scène Denis Podalydès

Avec la troupe de la Comédie-Française

Du 4 au 7 décembre 2018  à 20h30

Salle Albert Camus
Durée : 1h45

Comment s’affranchir des hiérarchies et venger des enfants de la violence de leurs pères ? Avec ruse, humour et panache répond Molière dans une farce devenue classique que met en scène Denis Podalydès avec la Comédie-Française.

Au milieu d’un décor somptueux de fond de cale, voilà un gredin hirsute qui jaillit de la scène comme un diablotin le ferait de sa boîte : Scapin ! Mi-valet, mi-brigand, voyou dans l’âme mais néanmoins homme de cœur, le coquin est appelé à l’aide par deux amis qui ont eu la mauvaise idée de convoler pour l’un et de tomber amoureux pour l’autre en l’absence de leurs pères respectifs. Or ces derniers – qui ont d’autres projets en tête pour leurs rejetons – reviennent plus tôt que prévu. Il faut agir, et vite ! Comment Scapin va-t-il donc débrouiller l’affaire ?
C’est un classique du répertoire que met en scène Denis Podalydès, fin connaisseur et familier de l’œuvre de Molière. Entouré d’Éric Ruf à la scénographie et de Christian Lacroix pour les costumes, il a conçu un écrin splendide à la hauteur de l’excellence de la troupe de la Comédie-Française. Le jeu est vif, enlevé, précis. Et le public rit aux éclats devant la rouerie phénoménale d’un Scapin monté sur ressorts. « Mais que diable allait-il faire dans cette galère ? » Si la réplique est culte, gageons que personne ne la prononcera en sortant de ce spectacle hilarant, débordant d’énergie, de ruse et de scènes d’anthologie.

Tarif préférentiel à l’attention des adhérents de la SGDL : 21€ (au lieu du tarif plein 29€) dans la limite des places disponibles en précisant le code SGDL

Réservation Au Théâtre et par téléphone
Du mardi au samedi de 11h à 19h
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pink
© DR

Pink Martini
Tournée de Noël

Piano Thomas M. Lauderdale
Chant China Forbes

Dimanche 9 décembre 2018  à 18h

Salle Albert Camus
Durée : 1h30


Le plus français des groupes américains fait escale au Liberté pour les fêtes de fin d’année. De la musique en technicolor. Et l’élégance jazzy qui embellit la vie.

Souvenez-vous, il y a vingt ans une cascade de notes à la harpe et au piano accompagnait ce que l’on a tous fredonné un matin : « Je ne veux pas travailler… ». Pink Martini était né, auréolé d’un succès mondial dès leur premier album. Originaire de Portland, le groupe est porté par la voix de China Forbes, le piano de Thomas M. Lauderdale et une large section de cuivres et de percussions. Mêlant jazz, influence rétro, ambiance lounge et rythme latino, Pink Martini n’en finit pas de faire le tour du monde en mixant les genres, sans barrières ni frontières. Le tout en plus de vingt langues, s’il vous plait !
Dans la foulée de leur 9e album Je dis oui !, le groupe entame une tournée de Noël et fait escale au Liberté. Ils y reprennent leurs plus grands succès ainsi que les fameuses Holiday songs, les chansons de fêtes de fin d’année de tous pays (Noël, Hanoucca, Nouvel an chinois...). Délicieusement rétro, élégant et joyeux, Pink Martini est notre cadeau de Noël. Venez vous enivrer de ses rythmes chaloupés. Sans nœud pap’ exigé, avec sourires et bonheur garantis.

Tarif préférentiel à l’attention des adhérents de la SGDL : 28€ (au lieu du tarif plein 35€) dans la limite des places disponibles en précisant le code SGDL

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Du mardi au samedi de 11h à 19h
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elephant
© Eva Trifft

The elephant in the room

Château Vallon - Scène nationale

Un spectacle du Cirque Le Roux
Mise en scène Charlotte Saliou
Musique Alexandra Stréliski

Avec Grégory Arsenal, Lolita Costet, Philip Rosenberg et Yannick Thomas

Mardi 11 et samedi 15 décembre 2018  à 20h30

Salle Albert Camus
Durée : 1h15
À partir de 7 ans

Il y a quelque chose de doux dingue au pays du Cirque Le Roux qui fusionne à merveille comédie théâtrale, prouesses circassiennes et film noir hollywoodien. La chute est parfaite, l’acrobatie inconsidérée, l’équilibre suspendu, la glissade irrésistible, les rires déployés, les bagarres haletantes, les danses dignes du music-hall américain des années 1930. Même le champagne pétille ! On se croirait propulsé dans l’univers feutré et raffiné d’Agatha Christie ou d’Hercule Poirot en compagnie de Miss Betty et de trois jeunes et beaux courtisans. Mais la high society est secouée de mille intrigues et se prend parfois les pieds dans le tapis quand il faut protéger un coupable secret… On referme les pages de la première création du Cirque Le Roux le cœur serré, admiratif et ému, dans l’attente du deuxième tome.

Tarif préférentiel à l’attention des adhérents de la SGDL : 21€ (au lieu du tarif plein 29€) dans la limite des places disponibles en précisant le code SGDL

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Du mardi au samedi de 11h à 19h
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promontoire
© Nathalie Prats

Le promontoire du songe

Texte Victor Hugo
Adaptation Philippe Berling et Ivan Dmitrieff
Mise en scène Philippe Berling

Avec Ivan Dmitrieff

Du mercredi 12 au vendredi 14 décembre 2018  à 20h

Salle Fanny Ardant
Durée : 1h10

Récit sensoriel pour le moins extra-terrestre, Le promontoire du songe de Victor Hugo est un hymne au rêve et à l’imagination. À découvrir les yeux grand ouverts.

En 1834, Victor Hugo observe la lune avec un télescope à l’Observatoire de Paris. D’abord, il ne voit rien si ce n’est « une espèce de trou dans l’obscur ». Mais à la faveur du lever du soleil, voilà qu’il aperçoit peu à peu des monts et reliefs, dont un volcan baptisé le
« promontoire du songe » qui déclenche en lui d’étranges visions et sensations. De cette expérience sensorielle est né un récit resté longtemps confidentiel, un hymne au rêve et à la force de l’imagination dont s’empare le metteur en scène Philippe Berling.
Voilà donc le comédien Ivan Dmitrieff, seul en scène pour être la réincarnation de Victor Hugo en chaman : l’homme qui a reçu un « coup de lune », qui disserte sur la puissance du rêve et prône la liberté des créateurs et des aventuriers de l’esprit. Dans son petit théâtre d’ombres, il a pour partenaires divers objets tels un gong chinois, un piano d’enfant, une flûte turque mais aussi un rhinocéros et... un plateau à fromages ! « Poètes, voici la loi mystérieuse : Allez au-delà » nous dit Hugo. Le promontoire du songe, coproduit par Le Liberté, est un spectacle qui nous tend la clé des songes, ce miracle qui « ouvre les yeux de l’âme »...

Tarif préférentiel à l’attention des adhérents de la SGDL : 17€ (au lieu du tarif plein 24€) dans la limite des places disponibles en précisant le code SGDL

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odyssee
© Simon Gosselin

Odysée

D'après Homère
Adaptation et mise en scène Pauline Bayle
Assistante à la mise en scène Isabelle Antoine
Scénographie Pauline Bayle

Avec Manon Chircen, Soufian Khalil, Viktoria Kozlova, Mathilde Méry et Loïc Renard

Jeudi 20 décembre 2018  à 20h30

Salle Albert Camus
Durée : 1h35

Avec un dispositif scénique aussi minimal qu’astucieux, Pauline Bayle met en scène les chants d’Homère. Un récit épique, drôle et tragique sur l’héroïsme et l’oppression.

Avouons le tout de go, mettre en scène Homère n’est pas une mince affaire. Comment incarner les dieux, leurs pouvoirs surnaturels, les héros et leurs batailles sanglantes ? Comment restituer les 30 000 vers de ce qui pourrait être le poème fondateur de la civilisation européenne ? C’est un défi qui demande du talent et une bonne dose d’inconscience. Pauline Bayle ne manquant ni de l’un ni de l’autre, le défi est relevé. Et pas qu’un peu ! La jeune metteure en scène propose un spectacle énergique et audacieux dont le sens élevé du rythme n’altère en rien la limpidité du récit et ménage une part surprenante de comédie.
Avec cinq comédiens investis (pour une trentaine de rôles) et une économie de moyens étonnante (des chaises, des seaux, des paillettes et du faux sang, basta), elle donne vie à ces femmes et hommes qui tentent d’échapper à leurs souffrances. Si l’Iliade raconte comment on fait la guerre, l’Odyssée raconte comment on en revient. Un diptyque fait de bruits et de fureur, d’images somptueuses et de récits échevelés qui mêlent courage, colère et compassion.

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Iliade
© Pauline Le Goff

Iliade + Odysée

D'après Homère
Adaptation et mise en scène Pauline Bayle
Scénographie Camille Duchemin

Avec Manon Chircen, Soufian Khalil, Viktoria Kozlova, Mathilde Méry et Loïc Renard

Vendrdi 21 et samedi 22 décembre 2018  à 19h30


Salle Albert Camus
Durée : 3h40 avec entracte

Avec un dispositif scénique aussi minimal qu’astucieux, Pauline Bayle met en scène les chants d’Homère. Un récit épique, drôle et tragique sur l’héroïsme et l’oppression.

Avouons le tout de go, mettre en scène Homère n’est pas une mince affaire. Comment incarner les dieux, leurs pouvoirs surnaturels, les héros et leurs batailles sanglantes ? Comment restituer les 30 000 vers de ce qui pourrait être le poème fondateur de la civilisation européenne ? C’est un défi qui demande du talent et une bonne dose d’inconscience. Pauline Bayle ne manquant ni de l’un ni de l’autre, le défi est relevé. Et pas qu’un peu ! La jeune metteure en scène propose un spectacle énergique et audacieux dont le sens élevé du rythme n’altère en rien la limpidité du récit et ménage une part surprenante de comédie.
Avec cinq comédiens investis (pour une trentaine de rôles) et une économie de moyens étonnante (des chaises, des seaux, des paillettes et du faux sang, basta), elle donne vie à ces femmes et hommes qui tentent d’échapper à leurs souffrances. Si l’Iliade raconte comment on fait la guerre, l’Odyssée raconte comment on en revient. Un diptyque fait de bruits et de fureur, d’images somptueuses et de récits échevelés qui mêlent courage, colère et compassion.

Tarif préférentiel à l’attention des adhérents de la SGDL : 21€ (au lieu du tarif plein 29€) dans la limite des places disponibles en précisant le code SGDL

Réservation Au Théâtre et par téléphone
Du mardi au samedi de 11h à 19h
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Arlequin
© Nicolas Joubard

Arlequin poli par l'amour

Texte Marivaux
Mise en scène et scénographie Thomas Jolly

Avec Julie Bouriche, Romain Brosseau, Rémi Dessenoix, Charlotte Ravinet, Romain Tamisier et Ophélie Trichard

Lundi 31 décembre 2018  à 20h30

Salle Albert Camus
Durée : 1h30
À partir de 7 ans

Quelle meilleure Saint-Sylvestre que celle passée avec une jeunesse fougueuse, musicale et festive ? Spectacle, animations et surprises vous attendent lors de cette soirée unique de réveillon. Arlequin est poli par l’amour ? Soyons polis par la fête !

Quand on est une fée amoureuse sans retour, il n’y a pas trente-six solutions : on séquestre l’être aimé. Seulement voilà, notre fée a oublié que l’amour rend aveugle et, toute éblouie par la beauté d’Arlequin, elle n’a pas mesuré à quel point ce dernier était bêta, naïf et sans esprit. D’autant qu’Arlequin, de son côté, en pince pour Silvia, la jeune bergère des environs...
Dans une esthétique foraine faite de guirlandes lumineuses, ballons blancs et serpentins en papier, Thomas Jolly insuffle une énergie rock à la célèbre comédie en un acte de Marivaux. Geste fondateur de sa compagnie en 2006, le spectacle fût recréé en 2011 avec une nouvelle génération d’acteurs plus en accord avec la jeunesse des personnages. Car si Marivaux pose l’éternelle question de choisir ou se laisser choisir en amour, il célèbre avant tout la vitalité, les maladresses et l’insolence de celles et ceux qui s’éveillent à la conscience du monde. Un spectacle populaire, vif et plein d’esprit, traversé par une irrépressible envie d’aimer et de faire la fête. Un enchantement.

Réveillon au Liberté : animations, spectacle, dîner, bal et bulles de champagne : 60€ (1 repas et 1 boisson offerts) dans la limite des places disponibles en précisant le code SGDL

Réservation Au Théâtre et par téléphone
Du mardi au samedi de 11h à 19h
Téléphone : 04 98 00 56 76
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