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Appel à candidatures : résidence d’écriture à Edenkoben (Allemagne) / Août 2024

Une résidence d'un mois (août 2024) au Centre artistique d’Edenkoben en Rhénanie-Palatinat (Allemagne).   Lire la suite

Appel à candidatures: résidence d’auteurs RÉCIT’CHAZELLES

La résidence d’auteurs RÉCIT’CHAZELLES lance son APPEL À CANDIDATURES. La date limite d'inscription est fixée au 30 MARS 2024. Lire la suite

Appel à candidatures: résidences à la Villa Kujoyama en 2025

En 2025, la Villa Kujoyama accueillera environ quinze lauréats et lauréates pour des résidences de 4 à 6 mois. Les lauréats et lauréates sont appelés à nouer des relations de travail avec les milieux professionnels, universitaires, artistiques et culturels de Kyoto, de la région du Kansai et de l’ensemble de l’archipel. Les candidatures peuvent être déposées par un candidat solo, en binôme, ou en duo franco-japonais. Cette année, le processus de sélection est également ouvert aux duos et binômes Arts et Sciences.   Lire la suite

Lancement du site Lecture-Justice

La Fédération interrégionale du livre et de la lecture (Fill), en partenariat avec le ministère de la Culture et le ministère de la Justice, lance le site Internet Lecture-Justice afin d’accompagner le déploiement de projets livre et lecture auprès des personnes placées sous main de justice.   Lire la suite
Why
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Théâtre National Populaire de Villeurbanne
Adresse : 8 place Lazare-goujon
69627 Villeurbanne Cédex
Téléphone : 04 78 03 30 00
Site web : http://www.tnp-villeurbanne.com/

Why ?

Texte et mise en scène Peter Brook et Marie-Hélène Estienne

Avec Kathryn Hunter, Marcello Magni, Ery Nzaramba et Raphaël Chambouvet


Du 24 au 27 septembre 2020
Jeu 24 septembre 19h30, Ven 25 septembre 20h00 , Sam 26 septembre 15h30 et 20h00, Dim 27 septembre 15h30


Durée : 1h20 — Spectacle
Grand théâtre, salle Roger-Planchon

À 95 ans, Peter Brook, maître de la scène du XXe siècle et de ce début du XXIe siècle, poursuit sa quête de l’épure et du dépouillement en revenant, plus que jamais, à l’essentiel. Une simple question traverse ce spectacle co-écrit et co-mis en scène avec Marie-Hélène Estienne : pourquoi faire du théâtre ? Deux acteurs et une actrice sont réunis au milieu de trois chaises, trois pupitres, et de quelques portants sur roulettes. Habitués de l’univers de Peter Brook, partageant son humour et son infinie délicatesse, ils célèbrent le théâtre. Ils évoquent des grands théoriciens, personnages tutélaires qui ne les quittent jamais : Antonin Artaud, Edward Gordon Craig, Constantin Stanislavski et surtout Vsevolod Meyerhold, figure phare du théâtre moderne qui a suivi avec ferveur l’élan révolutionnaire de 1917, avant d’être broyé par la machine stalinienne. Les questions posées par ces artistes au début du XXe siècle sont devenues, avec le temps, de plus en plus urgentes, de plus en plus vivantes. Le théâtre peut-il encore être une arme, comme le défendait Vsevolod Meyerhold ?

Avec ce spectacle sans fioritures ni artifices, Peter Brook et Marie-Hélène Estienne questionnent à la fois leur art et la révolution. Directeur de la Royal Shakespeare Company pendant une dizaine d’années, Peter Brook arrive en France au début des années 1970 et s’installe dans un théâtre désaffecté, les Bouffes du Nord. Fervent défenseur d’un plateau vide qui laisse place au rêve et à la suspension, il a pourtant déployé sur scène les récits les plus denses et les plus épiques comme le Mahabharata, texte de la mythologie hindoue, ou une grande partie des pièces de William Shakespeare. Il signe ici une œuvre manifeste qui prend la forme d’une leçon dramatique et joyeuse, double hommage à un martyr et à la puissance du théâtre.

Tarif preférentiel consenti aux membres de la SGDL, dans la limite des places disponibles et sur présentation de la carte SGDL

14€ (au lieu de 25€)

Réservation obligatoire par téléphone avec le code "SGDL" pour profiter du tarif partenaire, et le règlement sur place le jour même sur présentation de la carte SGDL. : 04 78 03 30 00


CB Sonia 
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Carte blanche à Sonia Wieder-Atherton

Trois concerts

Programme 1 / Bach

Du jeudi 24 au dimanche 27 septembre 2020

Jeu 24 septembre 20h00 , Ven 25 septembre 20h30 , Sam 26 septembre 20h30 , Dim 27 septembre 16h00


Sonia Wieder-Atherton
Musique Jean-Sébastien Bach (Suites pour violoncelle seul n°1, 3 et 4)
Petit théâtre, Salle Jean-Bouise

Programme 2 / Bach – Couperin

Mercredi 30 septembre et jeudi 1er octobre 2020

Mer 30 septembre 20h00 et Jeu 1 octobre 19h30

Sonia Wieder-Atherton avec Marius Atherton (guitare et synthétiseur monophonique)
musique Jean-Sébastien Bach (sonate BWV 1 023, Adagio – Toccata BWV 564, Adagio en fa mineur BWV 590), François Couperin – Leçons de ténèbres (Première leçon)
Grand théâtre, Salle Roger-Planchon

Programme 3 / Boccherini

Vendredi 2 et samedi 3 octobre 2020

Ven 2 octobre 20h00 et Sam 3 octobre 20h00

Sonia Wieder-Atherton avec Amaryllis Billet (violon) et Françoise Rivalland (cymbalum)
Musique Boccherini (concerto en ré majeur, concerto en ut majeur)
Grand théâtre, Salle Roger-Planchon

Les notes du violoncelle de Sonia Wieder-Atherton ouvrent la partition d’une saison où la musique aura une place de choix. Accompagnée par des musiciens avec qui elle partage régulièrement la scène, elle propose ici trois programmes, allant de Bach à l’Espagne de la fin du XVIIIe siècle avec Luigi Boccherini et ses concerti pour violoncelle. Nous l’entendrons en solo, en duo avec Marius Atherton et sa guitare électrique, ou en trio accompagnée par le violon de Amaryllis Billet et le cymbalum de Françoise Rivalland. Pour sa première collaboration avec cette artiste qu’il admire, Jean Bellorini met en espace trois capsules musicales intimes, dans des dispositifs scéniques classiques ou plus inattendus. Tous deux convaincus qu’il faut jouer, tout le temps, même pour une ou deux personnes, ils inventent ensemble ce moment de partage. Les spectateurs, réunis en petite jauge autour du violoncelle, retrouveront une manière d’être ensemble, une présence collective poétique et sensible. Et ils sentiront peut-être, comme le dit Sonia Wieder-Atherton, que « la musique doit être là où le cœur du monde bat ».

Tarif preférentiel consenti aux membres de la SGDL, dans la limite des places disponibles et sur présentation de la carte SGDL

14€ (au lieu de 25€)

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Jeanne
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Jeanne

D'après Le Mystère de la charité de Jeanne d’Arc et Le Mystère de la vocation de Jeanne d’Arc de Charles Péguy
Mise en scène Christian Schiaretti

Avec Louise Chevillotte, Juliette Gharbi, Kenza Laala

Du 4 au 14 novembre 2020

Mer 4 novembre 20h30 , Jeu 5 novembre 20h00 , Ven 6 novembre 20h30 , Sam 7 novembre 20h30 ,Dim 8 novembre 16h00 , Mar 10 novembre 20h30 , Mer 11 novembre 20h30 , Jeu 12 novembre 20h00 , Ven 13 novembre 20h30 , Sam 14 novembre 20h30

Durée : 2h30 environ — Création
Petit théâtre, salle Jean-Bouise

En 2003, Christian Schiaretti, alors jeune directeur du TNP, présentait déjà Jeanne. Il faisait entendre dans les murs de ce théâtre les mots de celui qui l’avait ébloui dans sa jeunesse. Dreyfusard convaincu, socialiste fuyant tout dogmatisme, chrétien anticlérical, patriote, mystique, poète inclassable, Charles Péguy a toujours déconcerté. Son écriture, mélange fulgurant de prose et de vers, est un mystère.

Avec une nouvelle distribution de comédiennes rompues à l’exercice prosodique, nous repartons sur les pas de Jeanne d’Arc, au rythme de la langue incantatoire de Charles Péguy. Jeannette, Hauviette et Madame Gervaise s’avancent sur une simple allée de bois. La première dans la révolte, la deuxième dans la sérénité, la troisième dans ses fragiles certitudes. Nous sommes réunis autour de ces trois femmes, comme des fidèles auprès d’un autel. Leurs paroles touchent. Car ici la poésie est charnelle, et ce sont des personnages bien vivants qui s’affrontent. Des personnages de la terre, des êtres de chair et d’os, qui parlent un langage simple, direct, vrai. Avec conviction et acharnement, elles semblent traversées par le même dilemme de la résistance ou de l’abandon. Et, dans la destinée de Jeanne, une question affleure : sommes-nous individuellement concernés par le sort du monde ?

L’œuvre théâtrale de Charles Péguy creuse incessamment le même motif, comme le paysan creuse son sillon, passe et repasse la charrue, lentement, précisément. Christian Schiaretti, en reprenant Jeanne, effectue un travail similaire, une œuvre de laboureur. Un spectacle intime où la langue fait spectacle, fidèle au combat artistique de l’homme qui a dirigé le TNP ces dix-huit dernières années.

Tarif preférentiel consenti aux membres de la SGDL, dans la limite des places disponibles et sur présentation de la carte SGDL

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Ça ira (1) Fin de Louis

Une création théâtrale de Joël Pommerat

Dramaturgie Marion Boudier
Collaboration artistique Philippe Carbonneaux, Marie Piemontese


Avec Saadia Bentaïeb, Agnès Berthon, Yannick Choirat, Éric Feldman, Philippe Frécon, Yvain Juillard, Anthony Moreau, Ruth Olaizola, Gérard Potier, Anne Rotger, David Sighicelli, Maxime Tshibangu, Simon Verjans, Bogdan Zamfir

Du 19 au 28 novembre 2020
Jeu 19 novembre 19h00, Ven 20 novembre 19h00, Sam 21 novembre 19h00 , Dim 22 novembre 15h00 , Mer 25 novembre 19h00 , Jeu 26 novembre 19h00 , Ven 27 novembre 19h00, Sam 28 novembre 19h00

Durée : 4h30 (avec deux courtes pauses) — Spectacle
Grand théâtre, salle Roger-Planchon

Pas de piques, de bonnets phrygiens ni de Bastille en feu dans cette fiction politique contemporaine. Le décor, une boîte vide et noire avec une table et quelques chaises, nous dit bien que tout est à (ré)inventer. En témoins actifs, nous assistons à l’événement qui a posé les jalons des idées et des valeurs de nos démocraties. Un temps d’effervescence, d’imagination et de doutes.

La scène est un champ de bataille politique pour les représentants de l’Église, de la noblesse et du tiers état. Pugnaces, ils débattent face à l’assemblée des spectateurs. L’invention du contrat social se rejoue dans les corps. Joël Pommerat, maître dans l’art de dessiner des trajectoires de personnages qui se heurtent à la société, s’intéresse ici à la société elle-même, présence invisible formée par les corps de tous. La Révolution se met en route, phénomène immense qui échappe à l’individu.

Pour conter cette aventure politique, l’écriture s’est appuyée sur de nombreuses archives et recherches. Les acteurs et actrices, en passant d’un rôle à l’autre, changent de camp, expérimentent différentes sensibilités. Nous sommes pris au cœur de leurs conflits, suivant les revirements des uns et les prises de conscience des autres. Nous sentons combien cette Révolution s’est construite au jour le jour, dans la douleur parfois, dans la colère souvent, et dans l’improvisation toujours.

Cinq ans après sa création, le spectacle a été joué plus de deux cents fois, en France et dans le monde. Il a été récompensé par les Molières 2016 du théâtre public, de l’auteur francophone vivant, et du metteur en scène d’un spectacle de théâtre public. Un triomphe auprès du public comme de la critique. Après avoir accueilli ce spectacle en janvier 2016, l’année de sa création, le TNP est fier de l’inviter à nouveau.

Spectacle-phare de cette décennie, Ça ira (1) Fin de Louis questionne notre manière de faire société, interroge subtilement la crise démocratique actuelle, s’adresse à tous et toutes dans une exigence de langue et de pensée. Il est sans doute une incarnation possible de l’idéal qu’est le théâtre populaire.

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 Et le coeur
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Et le cœur fume encore

Conception, montage et écriture Alice Carré et Margaux Eskenazi
Mise en scène Margaux Eskenazi

Avec Armelle Abibou, Loup Balthazar, Salif Cissé, Malek Lamraoui, Yannick Morzelle en alternance avec Lazare Herson-Macarel, Raphael Naasz, Éva Rami

Avec les voix de Paul Max Morin, Nour-Eddine Maâmar, Éric Herson-Macarel

Avec des extraits de Kateb Yacine, Assia Djebar, Jérôme Lindon et de Le Cadavre encerclé de Kateb Yacine et la préface d’Édouard Glissant, publiés par les Éditions du Seuil


Du 1 au 13 décembre 2020

Mar 1 décembre 20h30 , Mer 2 décembre 20h30 , Jeu 3 décembre 20h00 , Ven 4 décembre 20h30 , Sam 5 décembre 20h30 , Mer 9 décembre 20h30 , Jeu 10 décembre 20h00 , Ven 11 décembre 20h30 , Sam 12 décembre 20h30 , Dim 13 décembre 16h00

Durée : 2h — Spectacle
Petit théâtre, salle Jean-Bouise

Réunies par une complicité artistique et des questionnements partagés, Margaux Eskenazi et Alice Carré s’intéressent aux écritures et aux poétiques de la décolonisation. Et le cœur fume encore, second volet du diptyque « Écrire en pays dominé », retrace les mémoires et les silences de la guerre d’Algérie, de ses débuts jusqu’à ses intrications actuelles.

Sept personnages témoignent : deux militants du FLN – section française et algérienne, un harki, une militante parisienne anticolonialiste, une pied-noir, un appelé du contingent et un militaire de métier. Leurs paroles engagent leurs enfants et petits-enfants, qui observent l’impact de cette mémoire sur leur famille et leur inscription dans la société française contemporaine. Les héritiers des deux camps, de génération en génération, s’affrontent à l’endroit du souvenir ou au quotidien, dans l’échange des regards. Les scènes se succèdent, de plus en plus réjouissantes, sillonnant le temps et l’espace (Algérie, France, Belgique).

Conçue à partir de témoignages réels ou d’écrits d’historiens et de poètes, cette fresque est le fruit d’un rigoureux travail d’enquête. À l’écriture polyphonique répond la diversité des comédiens qui incarnent sans distinction de sexe ou d’origine les femmes et hommes d’hier et d’aujourd’hui, d’une rive et de l’autre de la Méditerranée. Manifestation, sans doute, de l’espoir d’une histoire enfin mise en commun, ce théâtre aussi intelligent que joyeux est une résistance douce contre l’amnésie.

Artiste invitée au TNP pour trois saisons, Margaux Eskenazi met au cœur de son projet les questions de territoire et d’identités. Entourée de collaborateurs fidèles, elle souhaite accompagner son travail artistique par une implantation solide à Villeurbanne. La rencontre de nouveaux publics, l’ouverture du plateau aux spectateurs, la sensibilisation au processus de travail… autant d’actions pour allier la création et les réflexions avec les publics.

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Incertain Monsieur Tokkar

Ecriture et mise en scène Michel Laubu, Emili Hufnagel
Dramaturgie Olivia Burton
Scénographie Michel Laubu

Avec Charly Frénéa, Simon Giroud, Emili Hufnagel (Caroline Cybula en alternance), Michel Laubu, Patrick Murys, Fred Soria


Du 10 au 19 décembre 2020

Jeu 10 décembre 19h30 , Ven 11 décembre 20h00 , Sam 12 décembre 20h00 , Dim 13 décembre 15h30 , Mar 15 décembre 14h00 , Mer 16 décembre 20h00 , Jeu 17 décembre 14h00 , Jeu 17 décembre 19h30 , Ven 18 décembre 20h00 , Sam 19 décembre 18h00

Durée : 1h15 — À voir en famille
Grand théâtre, salle Roger-Planchon

Tout public à partir de 8 ans

Monsieur Tokbar, ancien professeur d’histoire à la mémoire qui flanche, s’apprête à vivre une ultime mésaventure. Alors qu’il est en route pour la Turakie, sa motobylette tombe en panne. Loin de s’apitoyer sur son sort, le vieil homme se met en quête d’essence. Ou faudrait-il dire « en quête de sens » ? Ses souvenirs, gardés au frais de réfrigérateurs, surgissent, se télescopent et se prennent les pieds dans les pages de manuels d’histoire… Monsieur Tokbar voyage dans le temps et hors du temps ! Il croise aussi bien le roi Arthur et Don Quichotte que des hommes-robinets ou une tondeuse hippocampe. Il déambule avec maladresse dans le cabaret des petits rouages de sa mémoire. Il bricole ses souvenirs comme les interprètes en scène bricolent les objets pour déployer leur monde. Et si la mémoire ne faisait qu’un avec l’imaginaire, avec la fantaisie, avec les rêves ?

C’est la première fois que le Turak Théâtre, fondé à Lyon en 1985 par Michel Laubu, et co-dirigé par Émili Hufnagel depuis une quinzaine d’années, est accueilli au TNP. Soucieux d’œuvrer pour un théâtre populaire, ses artisans s’amusent d’objets détournés, de mythologies anciennes ou imaginaires, de langages inventifs et poétiques. À chaque spectacle, ils deviennent les inventeurs et les explorateurs de la Turakie, « un pays inconnu de tous mais qui peut exister dans l’imaginaire de chacun ». Cette dernière création, tendrement folle, est une invitation à se souvenir de ce qui n’a jamais été.

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